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Introduction :
Il y a quelques jours dans un groupe Whatsapp d’entrepreneurs, un copain me dit “toutes tes offres se vendent comme des petits pains, c’est de la sorcellerie”.
Capture d’écran iPhone
Le sujet de l’offre, c’est un sujet crucial car on vit dans un monde où ce n’est pas parce que vous êtes bons et vous avez du talent que vous allez réussir à vendre.
Et je sais que plus d’une fois vous vous êtes dit “j’en ai marre de voir des clients me passer sous le nez juste parce que je n’ai pas le bon vernis marketing”.
Cet échange m’a fait marrer parce que personne ne connait les deux vérités peu avouables qui se cachent derrière ça :
La première vérité, c’est que j’ai tellement d’offres qui se sont plantées sur les dix dernières années, que ça a fini par me rendre fou. Donc j’ai poncé le sujet, et j’ai fini par repérer des patterns qui augmentent ma probabilité de réussite. Une sorte de raccourci que j’utilise maintenant systématiquement.
La deuxième vérité, c’est que j’utilise un template simple pour tester toutes mes offres en sous-marin, tapis dans l’ombre, pour être sûr de ne jamais me planter en public.
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Je vais vous raconter une courte histoire pour illustrer ma stratégie.
Elle se passe au Moyen Âge. Un célèbre archer se balade dans un petit village. En parcourant les rues, il voit de nombreuses cibles dessinées (tantôt sur les murs, tantôt sur les toits, tantôt sur des enseignes). Et en plein centre de chacune des cibles, une seule flèche plantée, flambant neuve.
Il se rend chez le chef du village, et demande à rencontrer l’archer local pour le féliciter.
Mais la réponse du chef du village le laisse bouche bée : ”Il n’y a pas d’archer ici. C’est le bouffon du village, qui tire des flèches de manière complètement aléatoire, et qui peint des cibles autour.”
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Ma stratégie, c’est de me comporter comme le bouffon.
L’archer part de la cible pour tenter d’y planter sa flèche, et échoue un tiers du temps. Le bouffon part de la flèche pour dessiner sa cible, et il cartonne quasi systématiquement.
Et donc je fais pareil : je conçois mes offres autour de ce que veulent les gens. J’analyse en profondeur ce dont ils ont besoin, et je leur sers sur un plateau.
Cette stratégie, elle ne marche pas quand on vend un service pourri et qu’on a 0 compétence. Mais quand on est bon dans ce qu’on fait, elle cartonne.
Et chez la majorité des profils que j’ai pu accompagner en coaching privé, c’est ce qu’il s’est passé.
L’avantage d’une Banger Offer, c’est sa simplicité : elle se suffit à elle-même. Une Banger Offer, elle se vend sans site, sur un bout de papier, sur un coin de table.
Elle ça fonctionne parce qu’elle transperce les trois murs qu’on peut se prendre, et qui nous empêche de vendre nos offres “comme des petits pains” :
Le premier mur, c’est que vous avez une promesse de valeur qui vous paraît canon, avec un prix qui est justifié par votre expertise. Et pourtant, dans les personnes qui vous contactent il y beaucoup trop de touristes ou de personnes qui n’ont pas le budget adéquat.
Ce que vous ne prenez pas en compte, c’est qu’il y a très souvent un gros décalage entre la typologie de clients dont vous rêvez, et la typologie de clients que votre offre attire.
En d’autres termes, la manière dont vous formulez votre offre va définir le calibre des clients que vous allez attirer.
→ on va voir les différences entre une offre qui attire vos clients de rêve, et une offre qui attire les clients dont vous ne vous voulez pas.